Une ressourcerie virtuelle de D3E ?

Quézaco ?
Virtuel = qui s’oppose au réel. Quelque chose de potentiel donc.
Ressourcerie = lieu de collecte, de revalorisation, de revente et de sensibilisation à l’environnement et aux déchets.
Equipements électriques et électroniques = Tout ce qui fonctionne avec une prise électrique, une pile ou un accumulateur, ainsi que les composants et consommables qui leur sont associés.
D3E = DEEE ou déchets d’équipements électriques et électroniques. L’action qui consiste à abandonner la propriété d’un objet.

Plusieurs idées à la base du projet de ressourcerie virtuelle de D3E :
a. rapprocher des individus avant d’utiliser la technique ;
b. améliorer la gestion des D3E grâce à une série d’outils informationnels : catalogue collectif, réseau social, bases de connaissances ;
c. emprunter des méthodes et techniques éprouvées du monde des professionnels de l’information (bibliothécaires, documentalistes, archivistes…)
d. s’appuyer sur le mouvement du libre et de la diffusion des savoirs ;
e. aider le mouvement du matériel libre ou open-source en améliorant la visibilité des stocks de D3E et leur accès ;
f. s’inscrire dans l’action des mouvements allant vers la « Transition » et en faveur du « bien commun ».

Initialement pensé, à destination des particuliers et des ressourceries, la conduite de projet sur le terrain a permis de tirer les premières conclusions.
La phase d’étude achevée et les prototypes mis à disposition, il resterait à passer à une phase d’appropriation des outils proposés pour les individus et structures intéressées.
Pour information, la date du 18 mars 2013, celle du lancement « officiel » du site web assod3e.org en avant première du « Festival de la récup‘ » a été choisie comme date de « clôture » du projet de « ressourcerie virtuelle ».  L’appellation « projet D3E » est revenue sur le devant de la scène depuis cette date puisque les prototypes de catalogue collectif, de bases de connaissances et de réseaux sociaux ont vu le jour et ne sont plus virtuels.